Hailey renverse joyeusement les règles du jazz en transformant à sa façon des chansons aussi diverses que « They Don’t Make it Junk » de Leonard Cohen, « Alcohol » de Ray Davies ou bien « Underwear » de Pulp, tandis que les classiques du cabaret côtoient des compositions originales, le mélange résultant en un cocktail de chansons complètement addictif.